Installation in situ, Parc du Premier chemin de fer, Montréal.
Figures réconfortantes drapées d’attributs féminins, le jour, Les printanières forment un rempart à la grisaille urbaine tandis que le soir, elles hantent sans peur ce parc peu hospitalier. Le lieu du parc, source d’inquiétude pour une femme seule qui le traverse, m’a inspiré cette installation. Je désirais inviter le spectateur à naviguer entre l’émerveillement et l’inquiétude selon l’heure du jour ou de la nuit de la déambulation.
Installation in situ. Vue de nuit, avec la projection vidéo sur les portes en arrière-plan.
Vue d’ensemble de l’installation in situ.